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  1111TCHAD - Copie  logoTchad3

Tchad.. Tchad....epervier mantatchad.. - Copie 

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N'Djaména 13

Hotel Kempinski.. 

N'Djamena..

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  FRANCE 24 EN LIVE AVEC A.T.I 

  Stéphane Taponier et Ghesquière - Copie

  STEPHANE TAPONIER ET HERVE GHESQUIERE SONT LIBERES LE 29 JUIN 2011, APRES 547 JOURS DE CAPTIVITE EN AFGHANISTAN. LES DEUX JOURNALISTES DE FRANCE TELEVISION SONT IMPATIEMMENT ATTENDUS DANS L'HEXAGONE OU LEUR ARRIVEE EST ANNONCEE POUR LE 30 JUIN 2011, AU LENDEMAIN DE LEUR

LIBERATION !

20 février 2011 7 20 /02 /février /2011 17:00

debysoubiane

Ahmat Hassaballah Soubiane, l'ancien ambassadeur du Tchad aux Etats-Unis, devenu rebelle et qui a rallié le régime de Deby il y a un peu moins de deux ans, aurait pris la fuite samedi matin.

 

Après son départ en catimini de la capitale tchadienne, Soubiane aurait repris le chemin du maquis. Il serait arrivé à Khartoum demander l'asile politique. Le conseiller fugitif aurait essuyé une fin de non-recevoir. Les autorités soudanaises l'auraient ordonné vertement de quitter le territoire sur-le-champ.

 

Selon la rumeur, il envisagerait d'aller tenter sa chance en Europe, en l'occurrence dans l'Hexagone. « Il a un passeport diplomatique et peut se rendre probablement en France demander l'asile », a affirmé une source proche de l'affaire qui a requis l'anonymat.

 

Ahmat Hassaballah Soubiane a été nommé « Conseiller spécial » par le Chef de l'Etat tchadien plusieurs mois après son ralliement en 2009. La nomination de Soubiane à ce poste était un moyen propice pour mieux surveiller tous ses faits et gestes d'autant plus qu'il était mis sur écoute téléphonique peu de temps après son ralliement.

 

Plusieurs indices annonciateurs démontraient à quel point la méfiance entre les deux hommes était perceptible ces derniers temps. « Le Président n'a pas vu son Conseiller spécial depuis déjà plusieurs mois », a précisé cette même source.

 

Se tentant observé à la loupe depuis des semaines et ayant perdu toute confiance vis-à-vis de son mentor, le « Conseiller spécial » du Chef de l'Etat tchadien vivait sur le qui-vive depuis plusieurs jours. Des signes et signaux de mauvaise augure lui auraient permis de comprendre qu'il était sur la sellette. Son éjection probable de son fauteuil de « Conseiller spécial » (poste sans fonctions), voire son arrestation dans les prochains jours semblaient se préciser chaque jour. Par conséquent, il aurait pris le large le 19 février 2011 pour parer à toute éventualité.

 

A suivre.

 

La Rédaction de l'Agence Tchadienne d'Information

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 03:05

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Jeudi 21 octobre 2010. La ville de Guéréda dans l'extrême-est du Tchad a été le théâtre de tueries ce 21 octobre 2010. Le lieutenant-colonel Abdoulaye Dongui, commandant du deuxième bureau des renseignements militaires pour le Régiment militaire numéro six (RM6), basé à Guéréda, s'est livré à une véritable politique de la terre brûlée.

 

Lors d'une patrouille effectuée le 19 octobre dans le village de Oguidé, à 20 km de Guéréda, le lieutenant-colonel Abdoulaye Dongui a appréhendé Defa Adam, un paisible cultivateur, auquel il a intimé l'ordre de lui indiquer «l'endroit où les Tama cachaient leurs armes». N'ayant obtenu aucune réponse satisfaisante, le commandant du bureau des renseignements militaires a fait ligoter sa victime et l'a embarquée dans son véhicule puis l'a acheminée jusqu'à la place du marché de Guéréda. Là, Defa Adam a été attaché contre un manguier et la tête soigneusement dissimulée dans une capuche en plastique. Le lieutenant-colonel Dongui et ses hommes se sont mis alors à lapider leur bourreau jusqu'à ce que mort s'est suive.

 

Le corps de Defa Adam a été laissé à l'endroit où l'assassinat a été perpétré. L'affaire a commencé à prendre de l'ampleur. Les soldats Tama de l'armée tchadienne ont été mis en alerte. Dès le lendemain (20 octobre), le commandant du Régiment militaire deuxième adjoint Ismaïl Wal Kodjékat, le colonel Ishaq Ramadan et le colonel Abdoulaye Tawil, tous natifs de la région et issus de la même communauté que la victime Defa Adam, se sont rué sur place pour découvrir la bavure causée par le lieutenant-colonel Abdoulaye Dongui sur un paisible citoyen. Le COM RM Wal Kodjékat et ses compagnons apprennent, à leur arrivée sur les lieux, que Abdoulaye Dongui serait parti en mission après avoir tué Defa Adam et qu'il aurait laissé entendre que « plus personne ne devrait s'occuper du cadavre ». Toutefois, les trois hommes se sont vu dans l'obligation de prendre le corps de la victime pour aller l'ensevelir avant d'aller à la recherche du commandant zélé.

 

Le colonel Ismail Wal Kodjekat finit par retrouver le lieutenant colonel Abdoulaye Dongui le 21 octobre et lui demande pourquoi il a tué Defa Adam et a laissé son corps pendu sur un arbre? Réponse du commandant des renseignements militaires : « Qui es-tu toi pour oser me poser une telle question? » Une vive altercation s'est suit. Abdoulaye Dongui fait usage de son arme en tirant à bout portant sur Ismaïl Wal Kodjékat qui meurt sur le coup. Sur-le-champ, les deux parties échangent des coups de feu. Le Lieutenant-colonel Abdoulaye Dongui trouve la mort à son tour à l'issue des échanges des tirs nourris qui occasionnent également des dommages collatéraux. De nombreux blessés graves ont été dénombrés de part et d'autre, entre autres, les colonels Abdoulaye Tawil et Ishaq Ramadan.

 

Dans l'après-midi de ce 21 octobre, alors que les proches du défunt Ismaïl Wal Kodjékat s'affairaient pour aller ensevelir sa dépouille mortelle, une colonne de soldats gouvernementaux a fait irruption à son domicile et à ouvert le feu sur les nombreuses personnes venues pour accompagner le disparu à sa dernière demeure. Le nombre de blessés se chiffre à plusieurs dizaines d'individus dont beaucoup se trouvent dans un état grave.

 

Une situation insurrectionnelle

Un véritable chasse-à-l'homme a commencé ce jeudi 21 octobre à Guéréda. Les soldats issus de la communauté Tama officiant au sein des forces de Défense et de Sécurité et qui se trouvent dans la région de Wadi Fira se sont retrouvés dans la ligne de mire des forces gouvernementales. Plusieurs personnes aussi bien militaires que civiles appartenant à la communauté Tama ont été arrêtées. A l'heure où nous mettons sous presse, la chasse-à-l'homme se poursuit dans le Wadi Fira. Selon des sources concordantes, tous les soldats Tama se sont retranchés à l'extérieur de la ville de Guéréda avec armes et véhicules et accompagnés d'innombrables personnes civiles pour exprimer leur refus face à ce qui représente, à leurs yeux, « une extermination » de leur communauté.

 

Kébir

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27 septembre 2010 1 27 /09 /septembre /2010 15:30

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Un général de l’armée soudanaise est allé rencontrer le reste des rebelles tchadiens lundi à El-Fasher. L’objet du déplacement du général soudanais est le désarmement des rescapés de rebelles tchadiens cantonnés dans cette localité. « Vous allez déposer toutes  les armes actuellement en votre possession d’ici à demain », a déclaré ce général aux rebelles tchadiens.

Selon nos correspondants sur place, les rebelles tchadiens ne sont pas contents de cette décision et ont laissé entendre qu’ils ne déposeront pas leurs armes. Ayant appris la rumeur, le général soudanais a dû hausser le ton. Il a fait comprendre sur un ton autoritaire aux rebelles tchadiens son intention de les expulser dans un autre pays. « Vous allez déposer toutes les armes en votre possession au plus tard demain après-midi. Si vous ne le faites pas on vous désarmera par la force », a tempéré ledit général avant d’ajouter : «Dans quatre jours on va vous emmener tous dans un autre pays d’Afrique».

A en croire les supputations des uns et des autres, le gouvernement soudanais aurait entamé des négociations avec les autorités burkinabés depuis plusieurs jours afin que les rebelles tchadiens restés au Soudan soient acheminés dans leur pays. Si cette information se confirme, la rébellion tchadienne serait à jamais décapitée et une nouvelle page de l’histoire tchadienne sera tournée.

Le 20 juillet 2010, les soudanais ont expulsé trois responsables des rébellions tchadiennes basées à Khartoum vers Doha. Depuis, tous les ingrédients de la fin définitive des rebellions à l’Est du Tchad étaient perceptibles. Beaucoup ont rallié le régime de N’Djamena. Le reste des rebelles est sur le qui-vive pour une expulsion probable. Timane, Nouri et les autres, depuis leur exil forcé au Qatar, cherchent eux aussi à rallier le régime, jusque-là en vain.

 

 

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23 septembre 2010 4 23 /09 /septembre /2010 21:57

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Aussitôt après l'ouverture de la session solennelle de la Haute Cour de Justice sur le procès des deux anciens ministres (Abdérahmane Koko et Limane Mahamat) et neuf autres cadres de l'administration impliqués dans l'affaire du marché des manuels scolaires du Ministère de l'Education nationale, le président de ladite cour, Adoum Goudja, a suspendu la séance et a annoncé le report du procès pour la semaine prochaine.


«Le procès s'ouvrira lundi», a-t-il ordonné sans donner plus de précision sur la décision intempestive qu'il venait de prendre.


En tout cas, ce procès aux relents boiteux présente de nombreuses zones d'ombre et s'annonce dores-et-déjà ambigu d'autant plus que beaucoup de N'Djamenois croient savoir quelle en sera la finalité.


Toutefois, lundi, dès les premières heures de la matinée, nous serons au Palais du 15 Janvier pour couvrir ce procès qui, d'entrée de jeu, semble donner un sérieux fil de fer à retordre au président de la Haute Cour de Justice tchadienne.


Par A.S, Correspondant permanent de l'Agence Tchadienne d'Information (ATI),

N'Djamena

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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 14:37

 

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La Haute Cour de Justice tchadienne siégera à partir du 23 septembre 2010 au Palais du 15 Janvier pour juger les anciens ministres Oumar Boukar Gana, Limane Mahamat et neuf autres cadres présumés impliqués dans l'affaire du marché 205 des manuels scolaires du ministère de l'Education nationale.

 

Beaucoup de N'Djamenois pensent que le ''non lieu'' et la ''remise en liberté'' d'Abdérahmane Koko serait une manière de l'extirper d'une condamnation qui pourrait le ramener à la maison d'arrêt. Dans les milieux de la justice, on parle déjà d'un Procès dont le verdict est connu à l'avance.


Limane Mahamat et Oumar Gana dont les communautés n'ont pas réussi à faire pression sur le Président Deby comme l'ont fait les hadjarai ou les sara kaba seront les brebis à sacrifier sur l'autel de la ''bonne gouvernance'', c'est a dire ils seront inculpés pour blanchir la gestion opaque de Deby aux yeux de l'opinion internationale.

 

A. S. Correspondant de l'Agence Tchadienne d'Information (A.T.I) depuis N'Djamena

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29 août 2010 7 29 /08 /août /2010 21:42

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Une semaine après la libération provisoire de l'ancien maire de N'Djamena, Mahamat Zene Bada et d'autres agents de la mairie accusés de «détournement de plus de 4 milliards de francs cfa», l'ancien ministre de l'éducation nationale, Abderamane Koko accusé dans l'affaire des manuels scolaires vient d'être libéré à son tour avec deux autres membres du Ministère de l'éducation nationale.

A peine sorti de la Maison d'arrêt de N'Djamena où il a été incarcéré pendant près de 8 mois, Abderamane Koko est attendu jeudi à Am Djarass où il sera reçu par le président Deby. Rappelons que Zene Bada séjourne à Am-Djarass depuis sa libération le 18 août 2010.

Pendant ce temps, Limane Mahamat, l'ancien ministre secrétaire général du gouvernement, Oumar Boukar Gana, ancien secrétaire d'Etat aux finances, l'ancien trésorier Aboubakar et l'ancien DAFM Fredé, les maillons faibles de la politique debyenne, continuent de croupir en prison et seront sacrifiés sur l'autel de la pureté que Deby cherche à s'attribuer.

Depuis sa prise de pouvoir en 1990, Deby a toujours géré partiellement les affaires du pays en traitant par catégories les régions et les communautés. Par exemple, la mort d'un chien d'une région de première catégorie a plus d'importance aux yeux de Deby que l'assassinat de tous les habitants d'une région de la dernière catégorie.

N' est ce pas sous la pression des sara kaba qui ont fait savoir haut et fort à Deby ''qu'ils ne le voteront pas tant que leur fils bien aimé reste en prison'' que Deby a trouvé un subterfuge pour innocenter Kabadi? Idem pour les hadjaraï qui ont exigé la libération pure et simple de Zen Bada.

Limane, Boukar Gana, Fredé et Aboubakar ont la malchance d'appartenir à une région de la dernière catégorie et à des ethnies qui ne pèsent pas lourd sur l'échiquier de Deby. Donc, ils deviennent des boucs émissaires tout indiqués d' une situation économique et financière chaotique afin d'illustrer la «transparence» dont Deby veut se prévaloir.

Ces quatre hommes seront présentés la semaine prochaine devant la haute cour de justice pour être jugés et condamnés car ils n'ont pas des hommes derrière eux. «Avoir des hommes derrière lui », une expression qui a tout son sens au Tchad. En se basant sur cette sacro sainte expression, Deby a créé des hommes (des responsables, des rois, des généraux, des milliardaires) de toutes pièces et a défait d'autres.

Cette expression est à l'origine de beaucoup de maux dont souffre notre pays. Le mérite se mesure à l'aune de cette expression qui forme d'ailleurs une carapace solide pour l'impunité et autres actes inimaginables.

Ahmat Saleh Adoum

Correspondant, N'Djamena

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5 août 2010 4 05 /08 /août /2010 20:29

Copie--3--de-Nicole-la-DRUZE.jpgLes trois web corbeaux Nicole la Druze, M’Eve Gay et l’ivrogne Noukh Khisseine qui sèment la confusion sont  enfin démasqués. Ils seront traités comme tels et mis à nue.

 

 

 Voici le visage du monstre. Nicole la Druze, le web corbeau éffeminé des sites (www.ufcd.org et www.anr.typepad) que nous venons de démasquer avec talent. C'est un vietcon né vers 1950 à Saigon (Vietnam). Arrivé en France dans des conditions aussi douteuses que ses origines, il est reconverti à la web clochardisation et à la prostition sur Internet. Il se sert d'un mercenaire tchadien nommé Noukh Khissein Kharoun qui lui sert d'informateur lugubre en lui fournissant de fausses informations bien sûr! Nous les avons traqués et pris les mains dans le sac. Ils sont actuellement dans la tourmente. C'est fini. La récréation est terminée!

Copie (3) de Nicole la DRUZE

Depuis un peu plus de deux ans, les internautes se sont vus leur lecture sur Internet souillée par les enclocharditudes (mot créé spécialement pour qualifier les agissements sournois des trois sangsues du Net) d’une rare bassesse et d’une grossièreté nauséabonde des trois prostituées du Net : Nicole la Druze, M’Eve Gay et l’ivrogne Noukh Khisseine. Nul n'est besoin de préciser que les trois clochards se sont connus tous dans des débits de boissons alcoolisées. Attirés par le mirage de l’argent facile, les trois parasites vont profiter de l’arrestation de Mahamat Abbo Silek en 2006 au Soudan pour se prostituer sur la Toile en vue de gagner de l’argent. Par la suite, après n'avoir pas obtenu gain de cause, les trois salopes du Net n’ont pas mieux trouvé que d’usurper notre sigle et de créer un site au nom de notre mouvement l’UFCD pour régler leur compte et prétendre semer la confusion autour de nous. Tapies dans une caverne glauque d’Ali Baba d’un genre nouveau, le viet-con Nicole la Druze, le con-golais M’Eve Gay  et l’analphabète ivrogne Noukh Khisseine un TDV (Tout Droit du Village) venu des confins du Tchad et du Soudan, ne vont pas sévir longtemps dans leur cachot. Nous avons décidé d’user de la manière forte pour les traquer dans leur gîte et les appréhender. Nous allons les mettre à nue et à genou. 

 

Comment et depuis quand le Viet-con, le Con-golais et le colporteur venu des environs du Tchad ont créé leur bande ? Les trois infâmes griots que nous qualifions de Rroms du Net (entendez les délinquants du Net) sont attirés par le mirage de l’argent facile. Quoi de plus normal quand on sait que ces misérables prostitués n'ont pour moyen de subister que la commission du péché! Il apparait avec évidence qu'ils ont fait de l’arrestation de Mahamat Abbo Silek en 2006 à Khartoum un véritable fonds de commerce. A l’annonce de l’arrestation de Mahamat Abbo Silek, l’un de ses amis en France, en l’occurrence Alexandre Prual, a créé le site « www.anr.typepad.com » pour dénoncer la détention extra judiciaire de son ami. La mobilisation à travers ce site a commencé à prendre de l’ampleur. Alors comme par enchantement, le sinistre viet-con Nicole la Druze, le corbeau en "chef" des bandits du Net, surgit des ténètres et va précipitamment trouver Alexandre Prual pour courber l'échine devant lui et demander de l'associer à son action pour "dénoncer l’arrestation de Mahamat Abbo Silek." 
 
 

Alexandre Prual, par pitié, implique l’efféminé viet-con dans son action et va jusqu’à lui remettre le login du Site. Dores et déjà, le piètre Nicole la Druze va user de sa fourberie habituelle pour faire de la prostitution politique sur Internet. L’autre créature immonde nommée Noukh Khissein, un clochard parachuté en 1998 dans l’Hexagone depuis les confins du Tchad et du Soudan pour dit-on suivre une formation qu’il n’a guère pu tenir et foutu à la porte, va même réclamer un lien de parenté avec Mahamat Abbo Silek pour quémander de l’argent auprès des amis de ce dernier. A la libération de Mahamat Abbo Silek en 2007, l’excrément de la nature Nicole la Druze et l'analphabète clochard Noukh Khissein vont jusqu’à élire domicile chez l’ex-prisonnier d’el-Kobar à son domicile en banlieue parisienne pour prétendre lui « apporter du réconfort moral » et se targuer de lui annoncer qu’« ils ont créé le site anr.typepad pour le soutenir… » Les fourberies des deux mendiants du Net ne vont pas durer longtemps. L'excrément des rescapés de Pol Pot et la bouse de phacochère de l’est tchadien seront très vite désavoués par leur mentor. 
 
 

A la création de l’UFCD en 2008, l’analphabète Noukh Khissein que d'aucuns disent q'il s'appelle "Nouh Hissein Haroun Wadal haram", un vagabond en mal de notoriété, une pourriture débarquée en France en 1998 depuis un village situé entre le Tchad et le Soudan comme nous le soulignions ci-dessus, va raconter au bat-ard viet-con de Nicole la Druze, qu’il est, tenez-vous bien, « le président de l’UFCD ». En tant que chasseur des primes par excellence, le viet-con croit dur comme fer aux affabulations de Wadal haram. Et voila un couple vient de se former. Ainsi, les deux accouplés vont se permettre de créer un site au nom de l’UFCD sous le domaine "ufcd.org", hébergé par Typepad.  Wadal haram Noukh Khisseine (nous l’appelons ainsi parce qu’il ne mérite pas d’être appelé autrement que par une appellation qui correspond bien à un bâtard de son acabit), en tant qu’analphabète, joue le rôle d’informateur bidon pour le cochon viet-con Nicole la Druze qui écrit les cochonnerie rapportées par son acolyte sur les deux sites (www.anr.typepad  et www.ufcd.org  ). 

 

Toujours tapies dans l’ombre, les deux prostitués du Net vont jouer leur vilain rôle consécutif à leur confusion mentale caractéristique de leurs origines douteuses. Ils se mettent dans des souricières pour diffamer. Wadal haram Noukh Khissein (plutôt le bâtard Nouh), digne descendant d'esclaves, diffame le Représentant de l’UFCD en Europe en s’adressant à l’adultérin viet-con Nicole la Druze pour lui écrire ses ragots. Quant à ce dernier, parallèlement, il règle ses comptes en diffamant à longueur de semaines les personnalités politiques françaises, le Président de la République française, les Chefs d’Etat africains et d’autres homme politiques de par le monde avec des caricatures reprises chez un journal bien connu de la place. En usurpant le sigle "UFCD" pour insulter les hautes personnalités françaises, le viet-con Nicole la Druze a semé la confusion certes. Pas pour l'éternité. Cette vache folle a cru nous attirer des ennuis, voire attirer contre nous la colère de ceux qu’il attaque dans l'anonymat. Peine perdue. Personne n’est dupe, encore moins ceux qu'il caricature. 
 

Les internautes avertis ont remarqué, de prime à bord, qu’on peut lire les âneries de ces prostitués du Net simultanément sur le site « www.ufcd.org » et sur le site « www.anr.typepad ». Nous avons tendu un piège depuis de longues semaines pour traquer et démasquer ces délinquants. C’est chose faite. Nous les avons tous cueillis comme des lapins. D’ailleurs, les internautes peuvent constater que depuis le 5 juillet 2010, la hyène Nicole la Druze ne ricane plus sur le site www.anr.typepad  . En essayant de se connecter sur ce site, les internautes peuvent constater les incohérences suivantes : « C’est fini. » ; « Ce site est fermé. » 

 

Non, pauvres corbeaux, ça ne vous dédouanera pas. Nos enquêteurs sont activement à l’œuvre. La traque de ces délinquants ne va pas s’arrêter là. Ils auront beaucoup d’ennuis à partir de maintenant. La récréation est terminée. Et ceci doit concerner également l’autre bec de lièvre d’Aubervilliers. Une taupe bégayante, complice de l'idiot Noukh Khissein. Cette taupe a longtemps infiltré notre mouvement pour faire le sale boulot de colporteur en complicité avec Wadal haram Noukh Khissein Kharoun par des colportages et des ragots de tresseuses. Le Haut commandement a été alerté depuis plus d’un an et demi des agissements sournois de l’espion athée IP d’Aubervilliers.  

 

Un autre larron, clochard lui aussi, stupide et mal éduqué comme les trois mesquins précités, un con-golais nommé d’abord « All in Mauve gay » redevenu par la suite « Hameau bée M’Eve Gay », acolyte du viet-con Nicole la Druze, a toujours agi en complicité avec ce dernier. Là encore nos enquêteurs sont à l'oeuvre pour le clouer au pilori.

Quand un viet-con et un con-golais font couple, ça va accoucher à coup sûr d’un wadal haram Noukh Khissein Kharoune euh…farakh-haram quoi !Meve-GAY-et-Nicole-la-DRUZE.jpg Drôle de couple !                             

 

  UFCD-

 

Le Haut Commandement

Haut.commandement@gmail.com

 

 

SOURCE: http://ufcd.over-blog.com/article-france-nicole-la-druze-m-eve-gay-et-nouhkh-khissei-kharoune-les-trois-corbeaux-de-mauvaise-augure-demasque-54947153.html

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21 juillet 2010 3 21 /07 /juillet /2010 10:00

Expulsion-.jpgKhartoum, 20 juillet 2010. Il est 14h50. Un remous inhabituel des forces de l'ordre est perceptible aux alentours de l'aéroport de Khartoum. La circulation est bloquée sur l'avenue principale qui passe devant l'aéroport. Seuls des véhicules militaires circulent à vive allure dans les deux sens. L'atmosphère est lourde. Il se passe quelque chose dans la capitale soudanaise. Nous sommes en voiture et sommes bloqués au niveau du centre commercial « AFRAH », non loin de l'aéroport.

 

La nouvelle commence à enfler à travers tout Khartoum. Nous apprenons que des rebelles tchadiens sont sur le point d'être expulsés. La rumeur qui circule depuis deux mois est entrain de se confirmer aujourd'hui. Les trois mercenaires en chef longtemps tolérés par le gouvernement du Soudan sont arrêtés. Nous apprenons comme tout le monde que ces gens vont être expulsés aujourd'hui. D'après des témoins, les trois personnes arrêtées menottes à la mains viennent d'être acheminées vers l'aéroport.

 

Nous sommes informés que trois tchadiens vont être expulsés. Qui sont-ils? Il nous faut attendre quelques minutes pour le savoir. Le temps passe et nous avons hâte de mettre un nom sur les trois personae non grata, même si nous y avons notre petite idée. La circulation sur la principale avenue vient d'être autorisée. Nous avons démarré en trombe pour aller nous enquérir sur ce qui se passe. Arrivés à la maison, nos soupçons sont levés.

 

« Timan, Adima et Nouri sont arrêtés», s'enthousiasme Abdel M. « Ils ont été conduits à l'aéroport pour être expulsés », nous informe avec joie un combattant longtemps exploité par un des mercenaires en chef ligotés et conduits à l'aéroport sous une forte escorte militaire. Soulagé, ce combattant déçu poursuit d'un ton moqueur: « Enfin Dieu nous a débarrassés de ces bandits sans foi ni loi. Ils ont détruit le Tchad et sont venu semer la confusion et le désordre ici au Soudan. Ils détournaient systématiquement notre PGA et ils allaient chez les commerçants prendre des rations en s'endettant », précise-t-il.

 

Chérif, l'homme qui connaît tout sur les expulsés arrive. Il a le sourire aux lèvres. Il est content, voire heureux. « Je viens de l'aéroport. Vos gars sont déjà chassés. L'avion qui emmène Nouri est parti en premier », nous apprend-il. Il nous explique que Mahamat Nouri est renvoyé vers l'Arabie Saoudite. Quant au sort de Timan et consort, Chérif nous apprend que leur avion a décollé avec un retard d'une demie-heure. « Adouma Hassaballah est tombé dans l'avion. Il crie et demande d'être hospitalisé en simulant une crise de diabète », explique Chérif. « Malgré ses gémissements, l'avion a décollé et les trois ont été renvoyés vers Doha au Qatar », conclue notre informateur avec un grand soupir de soulagement.

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9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 14:03

1Deby2

Les autorités de Khartoum viennent de rappeler à leurs ex-protegés qu'il ne leur reste plus qu'une semaine pour trouver une terre d'accueil ailleurs. Cette fois le ton est bien différent des précédentes fois. « A défaut de rentrer chez vous au Tchad vous devez trouver un autre pays qui s'engagera à vous accueillir dans les sept prochains jours », a martelé le ministre soudanais chargé de la Sécurité. Considérés désormais comme des "véritables coupeurs de route", les rescapés des opposants-businessmen tchadiens se révèlent comme "un danger permanent qui rôde autour des populations soudanaises", pense un observateur soudanais.

 

En effet, depuis que la normalisation des relations entre le Tchad et le Soudan est effective, la présence des rebelles tchadiens sur le territoire soudanais ne se justifie pas. Le Tchad a respecté ses engagements en n'entretenant plus aucun groupe rebelle hostile à Khartoum sur son territoire. Mieux, l'Etat tchadien a refusé en mai dernier l'entrée discrète sur son territoire du chef rebelle soudanais du JEM Khalil Ibrahim arrivé en avion et qui a été renvoyé en Libye.

 

Depuis, le gouvernement soudanais a commencé à resserrer l'étau autour des rebelles tchadiens à ses soldes. La PGA étant coupée depuis cinq semaines, les sommations de faire la "paix des braves" avec le régime de N'Djamena se sont multipliées et aujourd'hui on leur demande de quitter purement et simplement le Soudan. Problème: les autorités tchadiennes traînent les pieds. "Le Tchad ne pouvant pas accueillir les milliers de personnes ayant trahi la nation pour être allés prêter mains fortes à un autre pays pour déstabiliser ses institutions, n'est pas chaud pour les accueillir", a estimé  un officiel tchadien sous couvert de l'anonymat.

 

La Rédaction

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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 20:43

Adouma Hassaballah.

 

 

Abdelbassit échappe à une tentative d'assassinat orchestrée par Adouma Hassaballah à Khartoum

 

Abdelbassit Mahamat Yacoub, combattant de l'UFCD, longtemps en désaccord avec l'ex-président de ce mouvement, vient d'échapper à une tentative d'assassinat orchestrée à son encontre par Adouma Hassaballah. Depuis plusieurs semaines Abdelbassit se sentait en effet menacé par des individus masquant leurs visages la nuit qui venaient rôder autour de la maison où il habite à Khartoum.

 

En avril dernier, à l'annonce de la révocation de Adouma Hassaballah par la base de l'UFCD pour haute trahison, abandon des combattants de la base arrière, détournements de fonds, corruptions et mauvaise gestion des biens du mouvement, Abdelbassit s'est engagé à son tour pour mener une campagne en vue d'un congrès qui devrait désigner un président nouveau et compétent. Depuis, Adouma Hassaballah a commencé à nourrir une haine viscérale envers son ex-garde rapproché.

 

Au fil des semaines, l'ancien président de l'UFCD, de plus en plus isolé et lâché par les soldats, a du mal à supporter que les membres de l'UFCD soient unanimes pour s'affairer autour du congrès qui réorganisera le mouvement et désignera un homme charismatique à sa tête. En plus, avec la coupure de la PGA annoncée voilà quelque jours, l'homme est aux abois et se trouve aujourd'hui dans une posture d'une bête enragée qui cherche à assassiner tous ceux qui ont eu le courage de le désavouer ou de l'abandonner.

 

Privé de PGA et sentant que ses jours à Khartoum sont désormais comptés, Adouma Hassaballah, en complicité avec Moudjrim Kâtir (un autre mythomane qui raconte à tout le monde qu'il communique avec des démons), a envoyé jeudi 1er septembre dans la nuit, un «commando» d'une dizaine de bandits armés agissant comme des véritables coupeurs de route, avec à leur tête un certain Abdoulaye Malik, pour aller tuer Abdelbassit Mahamat chez lui. A leur arrivée au domicile de celui qui allait être leur victime, ils se sont heurtés à la vigilance et à l'intervention de ses gardes de corps. La victime s'en est tirée malgré tout avec quelques contusions et un bras cassé.

 

Actuellement, Abdelbassit Mahamat se trouve à l'Ambassade du Tchad à Khartoum où il a trouvé refuge. Selon l'ambassadeur du Tchad joint par un de nos enquêteurs sur place, la victime est prise en charge par ses soins et est bien traitée. «Abdelbassit a reçu les soins de premières nécessités et nous nous occupons bien de lui. Il restera ici le temps qu'il faudra et nous le rapatrions dès que possible», a expliqué l'ambassadeur.

 

Après avoir utilisé les enfants mineurs et les combattants issues de la région du Ouaddaï depuis de nombreuses années à des fins mercantiles, Adouma Hassaballah a échoué sur tous les plans aujourd'hui. Il s'est enrichi avec le sang de tous les enfants de la région et sur les cadavres des martyrs qu'il a utilisés comme des chaires à canon. Chassé comme un vulgaire bandit de grands chemins par les Soudanais, abandonné par ceux qui l'ont supporté hier, lâché par ceux qui l'ont protégé, le voilà actuellement en train de se comporter comme un coupeur de route en envoyant ses assassins la nuit pour aller tuer ceux qui ne partagent pas ses convictions qui se résument au grand banditisme. C'est du déjà vu avec Mahamat Nour Abdelkérim en 2006. Lorsque ce dernier a échoué au maquis, il s'est retourné contre ses compagnons pour les assassiner. Nous pensons aux deux frères Abdelchakour assassinés en plein jour.

 

Quant à Adouma Hassaballah, les assassins qu'il a envoyés pour tuer Abdelbassit ont failli à leur mission. Cet échec les a contraints à dénoncer Adouma comme étant le cerveau de la tentative de meurtre sur la personne de Abdelbassit Mahamat. Un proche de la victime joint par un de nos enquêteurs présent à Khartoum-Bahri affirme: "Ce Adouma a franchi cette fois la ligne rouge. A partir d'aujourd'hui nous le traquerons partout où il ira dans ce monde. Il n'aura jamais la paix et il ne jouira jamais de l'argent de la PGA qu'il a détourné depuis des années sur le sang de nos parents et cousins".  

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